mardi 31 mars 2009

Life on rail tracks

Catering to over 18 million passengers, Indian Railways is the biggest and the busiest railway network in the world. However it is not a synonym of order.

The New Delhi railway station is all set for a facelift with Rs. 2.4 billion dollars modernization plan in place. But for a local station like Okhla things remain pretty much the same.

Situated in the South East corner of Delhi, Okhla station is slowly falling into decay. The unreserved ticketing booth has an endless queue of people. On the platforms, dirty water taps speak of a sorry state. People heedlessly cross the tracks all the long throwing caution to the wind. More people urinate outside in the open as the urinals remain unusable. During rush hour it is almost a stampede like situation to get in or out of the local train.

Perhaps this small station symbolizes many of the ills plaguing the country.






The Okhla reservation board reflects the state of the station itself.



People queuing at the unreserved ticketing counter.




On platform number three, pilgrims wait for their train under the mid day sun.



Train is late...




People rushing as the train arrives.




People hanging on to their lives as the train moves on.

jeudi 26 mars 2009

Dowry Kills Thousands

Although it has been forbidden in 1961, dowry thrives. Its current form is a social evil responsible for thousands of victims every year.

It is a wedding evening in Kalpa, in the mountains of Himachal.Two men count wads of banknotes. Then, they count again. The dowry is worth two lakh rupees, a huge sum for this family of small apple producers. In addition to cash, count also a fridge, a washing machine, a colour TV, a bed, furniture and…a woman! Tonight, she is covered with garlands of ten rupee notes as if it was needed to under-line her market value.

‘I GOT IT!’ The groom’s family receives two lakh rupees as dowry
in Kalpa, Himmachal Pradesh.


Smiling bitterly, the bride’s mother confesses that she “feels relieved.” To get her daughter married was not an easy task. For many parents in India, the son is seen as a boon and the girl as a curse. This attitude is directly linked to dowry. According to UNICEF, India has a ratio of 927 women for 1000 boys. India is the second country after China to face such an unbalanced situation. Selective abortions and infanticides happen frequently using pre-natal sex determination tests.

Such tests have been banned, but there is an industry in the backyards of cities that flourishes with doctors being partners in crime. The situation is getting even worst over the years: according to the UN Fund for the Population, the number of missing women in Asia has increased from 100 to 163 million between 1990 and 2005. “Allah should not give daughters to the poor. It is too expensive and after you
have to borrow money to your neighbours” explains Mohammed Ahmed, a poor employee who has a daughter.

It is not just birth that is dangerous for the Indian girl. Later, after marriage, they also become victims of “dowry death”. The drama almost always follows the same path: because the bride’s family can not afford new increasing demands of the in-laws, the husband and the mother in-law start ill-treating the young women. After a while, she mysteriously commits suicide: the husband is now free to marry again.
And cash in on a new dowry. Official’s figures are already scary: 98 victims each day in 1999. But it still seems to be underestimated. Vimochana, an association based in Bangalore, led a survey from 1997 to 1999. They figure out, that on the hundred violent deaths filed by the Bengaluru police each month, most of them were “dowry crimes”.The bulk of the victims were young women who had recently married.Two thirds of them were burnt to death.

Witnesses, police, medical staff and family members work to maintain silence over the murders. Even if it is taboo, “dowry death” is a widely accepted custom. In 2000, the Supreme Court of Karnataka severely blamed police and lawyers: only 6% of the dowry crimes ended up in prosecution. Moreover, it seems that “there is no political
will to make things change,” as explains D.Fernandes, an activist at Vimochana.

“The current dowry system is fairly new in India. It has mainly developed on the increasing consumerist and materialistic mentality of Indians. The last 30 years have seen two big changes in the Indian marriage: dowry is now a demand and not a gift. And this demand can happen at any time, sometimes three or four times” says Fernandes. Voiceless and suppressed, most women in India get sold off, as marriages become all about money.

lundi 27 octobre 2008

Nuits indiennes 3 : la vagabonde.

Delhi, mi-septembre, juste après les attentats. Sous pression, la ville devient invivable. Je décide brusquement un voyage en pays sikh, au Pendjab. Direction Amritsar, la ville sainte du sikhisme et la capitale de l’Etat. Train à 17h, arrivée à 22h. Tranquille.

Tout commence à la gare. « Bombes à Delhi, trains au tapis » dit approximativement le dicton local. Confirmé : deux heures d’attente en plus de l’heure de retard habituelle. Malgré la vitesse exceptionnellement élevée de mon Shatbadi Express, je n’atteins Amritsar que vers 1h du matin. Je n’ai pas prévu grand-chose et je me laisse prendre en charge par Aved Singh, rencontré dans le train. Heureux père depuis deux jours, il va passer la nuit au Temple d’or pour remercier le Tout Puissant : « it’s a boy ! » Il a la foi solide : il rogne 1800 roupies de son salaire de petit électricien pour se payer l’aller retour !

Après trois quarts d’heure de rickshaw vélo et deux P.P.P (Pause-Prière-Prosternation), nous touchons au but. Il est deux heures. Le gros cube doré du temple flotte au milieu du bassin. Malgré l’heure tardive, on sent encore ce mélange entre grouillement et recueillement, propre à tout lieu de culte en Inde. Sous les arcades de marbre blanc qui encadrent le bassin, le peuple sikh dort à même le sol, bercé par les psalmodies de quatre grands prêtres.

Aved insiste pour me faire partager son bain d’arrivée. Je résiste et le regarde faire trempette dans l’eau visqueuse du ghât. Après une dernière P.P.P, je le laisse vaquer à ses offrandes. Inspiré par l’ambiance, j’avise un pilier et je m’installe pour la nuit sous l’œil dubitatif de mes voisins.

3h30 : Je rêvasse doucement des aventures à turbans oranges et à longues barbes blanches quand des éclats de voix me sortent de ma léthargie. J’ouvre un œil, le referme, puis le rouvre aussitôt. Tous mes voisins ont disparu et à deux mètres, un énorme sikh s’apprête à me balancer un plein seau d’eau à la figure. Il est suivi d’une menaçante armée de balais à turbans. Ni une, ni deux je bas en retraite. SPLATSH. J’ai sauvé mon sac, mais pas mes cahiers.



Un peu refroidi, je me traîne vers l’autre extrémité du temple. A peine rendormi, quelque chose de pointu vient me chatouiller les côtes. Du bout de sa lance, un garde en grande tenue essaye de me faire comprendre que ma position, allongée perpendiculairement au ghât, est interdite. J’obtempère mais la position parallèle ne le satisfait pas non plus et il me fait déguerpir sans plus de ménagement. Un peu perplexe, je vais m’asseoir contre un pilier. Immédiatement, le barbu à la lance rapplique : « Quand il fait jour, les jambes ici, on les croise ! » Eeeh Baghvan ! (O Dieu !)

Vaincu à l’usure, j’abandonne la partie et j’échoue dans le dortoir pour touristes du Gurudwala. Dont je me fais éjecter à 9h00.

J'ai litteralement dormi debout toute la journee du lendemain; on ne se change pas.

dimanche 12 octobre 2008

Nuits indiennes 2: BOUM

Je ne pensais pas débuter ainsi mais il y a des délais que l’actualité ne souffre pas. Voici donc le récit d’une première « non nuit » indienne.

Ici Vincent, reporter de guerre en direct de Lajpat Nagar, Krishna Market, New Delhi. On entend encore des déflagrations dans les rues même si une baisse d’intensité se fait sentir. C’est avec 9/10e de moins à l’oreille gauche que je vous écris mais je suis malgré tout heureux d’être encore debout à l’issue de cette Dusshera, particulièrement explosive. Cela faisait une bonne semaine que les militants se faisaient la main avec des tirs d’essais à des horaires aussi incongrus que 3h47 ou 5h26 du matin (je m’en souviens parce que mon portable restait bloqué après l’onde de choc.) mais jamais je n’aurais escompté une telle violence.

A côté, l’Irak c’était du bidon.





Dusshera est une fête qui vient elle-même clôturer une période de fête de neuf jours appelée Navaratri, préparant elle-même à la grande semaine de fête de Divali, fin octobre. Ca suit au fond? On célèbre ce soir la victoire des dieux sur le mal en se déguisant et en explosant les démons à grands coups de claques doigts, de pétards, de feux d’artifices, de dynamites et autres explosifs plus ou moins louches.



Tout se passe dans la rue, comme toujours en Inde. Des énormes bonhommes de cartons pâtes censés représentés les démons sont dressés un peu partout.




La première partie de la soirée consiste à épuiser le stock d’explosifs qu’il reste de la semaine d’entraînement. Autour du mannequin, les jeunes font pêter leurs engins avec une inconscience criminelle. C’est hallucinant ! Ca touche au suicide ! Les mises à feu se font à l’allumette et si ça ne prend pas dans les 10 secondes qui suivent, on écrase tranquillement la charge du bout du pied. La foule, milles fois trop près, avance et recule au gré des déflagrations, hurlant de frayeur quand la charge est trop forte. A en juger par les explosions, il y a de quoi refaire un petit Verdun.




Ici aussi les dieux ont leurs martyrs

Le niveau sonore est évidemment l’objet d’une compétition acharnée entre les différents comités organisateurs et chacun a sa petite idée sur le moyen de gagner quelques décibels supplémentaires. Dans ce comité sikh on a installé un Dj et des spots et on invoque la divinité au son techno de « Floor to the floor ». Dans cet autre stand pendjabi, une troupe de danseurs traditionnels assure le spectacle à grands renforts de paillettes.
Bref tous les moyens sont bons.



Un doigt sur le déclencheur de mon appareil, l’autre sur mon tympan, je me barricade comme je peux derrière les vendeurs de cochonneries en tout genre. J’attends avec un peu d’appréhension le moment où il faudra s’en prendre au gros démon. Je sais bien qu’on va le brûler mais au vu du stock d’explosifs je doute qu’il ne s’agisse que d’un gentil feu de paille. Je commence à me chercher une retraite et j’avise le toit d’un garage délabré. Après quelques acrobaties, je suis sur la place, avec une vue parfaite sur le champ de bataille. Le grand bonhomme tout moche fixe la foule de ses gros yeux ronds idiots. Il doit quand même sentir un peu d’animosité parce qu’il tangue légèrement au gré des explosions. Le moment de la confrontation finale venue, un type s’avance avec une torche, crève le bidon du démon et se carapate en courant. La réaction du bonhomme ne se fait pas attendre. Une détonation de fin du monde crève l’atmosphère. Le souffle de l’explosion me fait vaciller. Un vrai carnage ! Le malheureux bonhomme n’y survivra pas, mes tympans non plus.






Chaos









Ici Bagdad, à vous Paris

Avis aux amateurs!

mercredi 8 octobre 2008

Nuits indiennes 1

Ici commence une série sur les joies du sommeil en Inde. Un post, une nuit et ceux jusqu'à épuisement du filon.
J'entends déjà certains commentateurs louches railler l'ambiguïté de mon titre. Âmes sensibles, rassurez-vous, rien de scabreux dans les lignes qui suivront, bien au contraire!
Mais laissez moi avant toute chose, vous introduire aux modalités de l'exercice. Dormir est ici un art dont la rue est l'incessant réceptacle. La preuve en images avec cette galerie. Delhi ou la ville aux milles dormeurs!


lundi 29 septembre 2008

Jamia Millia quoi?

La suite de cette petite série Jamia avec la chouette kermesse de jeudi dernier.

Dialogue classique lors des trois mois qui ont précédé mon départ.
« _Tu vas où ?
_Jamia Millia Islamia !
_Brrrr »
Ou : « Ah oui, j’ai entendu parler de ce réseau de madrasas pakistanaises.»
Ou encore : « Mange ta soupe où je t’envois à la Jamia ! »
Et moi, invariablement, de rassurer :
« _Allons bon mes amis, cela reste une université d’Etat ! »

Le joli vert pakistan du blason

L’actualité de ces dernières semaines a pourtant bien failli me faire réviser mon jugement.

13 septembre, explosions à Delhi. Cinq bombes, 24 morts, 150 blessés, gros traumatisme. Les Moudjahiddines Indiens revendiquent les attentats. La police est sur les dents. D’autres bombes sont désamorcées.
25 septembre, Jamia Nagar, juste à côté de l’université. Le quartier est aux abois. Une impressionnante concentration de forces de l’ordre encercle la zone. Ils ont bien du vider une demi douzaine de casernes. A l’intérieur grosse fusillade dans une planque de terroristes. Il y a de la casse : deux terroristes sont tués, un troisième est arrêté et les deux derniers se sont enfuis, on ne sait pas trop comment. Du côté des forces de spéciales, deux hommes sont morts. Deux nouveaux suspects sont arrêtés le lendemain. Dans les jours qui suivent, stupeur. Au moins trois des terroristes étudiaient à Jamia. La presse se régale. L’association musulman=« extrémiste-islamiste-antisocial-qui-tue-de-senfants » est facile.

Le genre de photo qui régale les journaux (copyright Hélène Ferrarini)

Les nationalistes hindous du BJP (Bharatiya Janata Party) s’enflamment et réclament la démission du directeur. Du côté des étudiants musulmans, on la joue discret. Tout le monde garde en mémoire les émeutes du Gujrat, où, en février 2002, environ 2000 musulmans avaient été lynchés.
Et puis il y a ce discours du directeur devant toute l’université, mercredi. La presse est là, aux aguets. La fin du discours se fait sentir. Un premier cri retentit. « Shame on media ! » Puis deux, puis trois et bientôt c’est un véritable cortège qui se forme sous l’égide des slogans anti presse. A bien y regarder ce n’est pas si spontané mais ce qui est certain c’est qu’ils ne sont pas là pour rigoler ; les journalistes se retranchent vite fait dans leur camion.

Le lendemain grosse manif, plus officielle, « pour la paix ». (J’aime…). Derrière ce joli titre plein d’originalité, l’idée est en fait de montrer une autre image de Jamia et plus généralement de la communauté musulmane. Que du bonheur ! De la foule en veux tu en voilà, de la tension comme dans les 20h sur le Pakistan et des slogans rigolos tout plein !L’ensemble de l’université s’est mobilisé. Les voisins des quartiers musulmans sont venus eux aussi. Ca se bouscule, ça crie sans trop savoir pourquoi.



Les cops sont un peu tendus.


Les slogans sont de plus ou moins bons goûts. J’ai un petit faible pour le « stop saying muslims as terrorists ». Certaines pancartes en hindi clament sans complexe qu’il faut « release the innocents ! ». Rapellons qu'on a quand même trouvé plusieurs Kalashs chez les "innocents" ! La mauvaise foi n'est pas l'apanage des seuls étudiants. En marge de la marche pour la paix, une autre manifestation a lieu un peu plus loin. Mené par des affiliés BJP, elle prône carrément la suppression de Jamia(14000 étudiants tout de même). Amis populistes, spécialistes de la surenchère en tout genre, venez en Inde il y a de quoi faire!

Ils sont mignons, non?


En parlant des Kalashs!


Un peu de mauvaise foi. Ca défoule et ça mange pas de pain. On pourrait presque être en France! (sur les pancartes: unite against harassment of innocent muslims et release innocents)



Bref vous l’aurez compris, message du post : « Les barbus sont tout gentil, je vais bien, ne vous inquiétez pas. »



Prochain volet sur mes petits camarades de classes.

samedi 27 septembre 2008

Ecoutez moi!

Un cours à la Jamia Millia Islamia. Que du bonheur…



8h45 :
Ce matin comme tous les prochains matins de cette année, j’ai cours. «Print journalism » annonce l’emploi du temps. J’ai séché la première leçon et j’hésite à réitérer le forfait. « Allons Vincent, pas de mauvais esprit. Les étudiants t’ont dit que le prof était un journaliste réputé. Et puis ils ont de si bons samosas à la cafet ! »

9h45 :
J’arrive en retard pour faire indien. Au milieu des étudiants au grand complet trône un gros crapaud aux yeux globuleux. Surprise : son costar grande classe habille une paire de vieilles reebooks noires pure style barbès.
C’est du plus bel effet ! Intrigué par le phénomène, je m’installe, avide d’éclaircissements. Le crapaud est en pleine démonstration et le tableau blanc est noir de schémas. Il est question du Kerala, « état indien le plus densément peuplé ».
“_But Sir, I have been taught it was UP!
_Obviously not Sir, it is Bengal”
Ils sont en forme…

10h20:
Un vibrant « Listen to me ! » sonne la fin des hostilités. La question est réglée. C’est bien le Kerala. Le crapaud a un petit sourire aux lèvres. Napoléon au soir d’ Austerlitz.
Les regards se concentrent sur le tableau. Sir y a représenté une sorte de bureau géant avec des centaines de tiroirs. « Mais qu’est ce, Sir ?!!! »

10h 40 :
Sous la menace d’une explosion, notre crapaud crève la monstrueuse bulle de vingt minutes de suspens. Il semblerait que le gribouillis soit un monument aux morts de chrétiens kéralites. La surpopulation des cimetières est à l’origine de ce modèle de rationalité funéraire : un grand cube géométriquement découpé en tiroirs familiales. A chaque mort son conduit mortuaire. Un bon coup de truelle sur l’embouchure du caveau vient sceller ces enterrements bureaucratiques.
« _mais alors Sir ils ont donc des échelles ? »
_Et puis Sir comment ça tient quand on ouvre les tiroirs ?
_Sir, Sir combien de tiroirs en moyenne ? »
Le crapaud vacille sous le choc. L’offensive est rude mais de nouveau le vieux bougre riposte : « LISTEN TO ME ! »

11h05 : La bataille s’annonce longue et sanglante. Les deux camps sont particulièrement virulents. Sir est touché mais ne semble pas vouloir lâcher le morceau. Devant tant de rebondissements, je suis en nage, j’halète, je n’en puis plus ! Je n’avais pas autant transpiré depuis le dernier criket round Delhi/Mumbai.

11H15 : Un chotu (serviteur ) entre pour passer le balai. Personne ne bronche, tout va bien dans le meilleur des mondes.

11h20 : Retournement de situation: « Listen to me! There is a hole behind the cube ». Sacré crapaud ! Tu cachais bien ton jeu va ! La classe est paralysée. Sir en globule des yeux de contentement : quand un nouveau décès survient dans la famille, on descelle le tiroir, on pousse les restes du vieil Alfred dans le trou de l’autre côté et on installe confortablement le petit jeunot. Silence. La victoire par KO semble acquise pour crapaud.
« _Mais Sir, quelle différence avec la crémation alors ? »
OH OUIIII ! Quel coup mes amis, quel coup !

La suite est fastidieuse mais soyez certain qu’elle ne manquait pas de piquant. Le contenu non plus : avant la fin de la journée, j’aurais entre autre appris du crapaud que « the difference between narration and description is that LISTEN TO ME ! narration is narrative and description is descriptive » et que « you will all soon become extravert because a journalist has to be extravert. Be sure I will force you ! LISTEN TO ME!”

Qui a dit stage ?

Pour ceux qui veulent le dessin du cimetière, me contacter.
Ce billet a été initialement publié pour Diaspipora.


Une scène courante : remplissage de formulaires administratifs sous l'oeil attentif du prof (assis au premier plan.